Summary"Rome" is the saga of two ordinary Roman soldiers and their families. An intimate drama of love and betrayal, masters and slaves, and husbands and wives, it chronicles epic times that saw the fall of a republic and the creation of an empire. The series begins in 52 BC, as Gaius Julius Caesar has completed his masterful conquest of Gaul a...
Summary"Rome" is the saga of two ordinary Roman soldiers and their families. An intimate drama of love and betrayal, masters and slaves, and husbands and wives, it chronicles epic times that saw the fall of a republic and the creation of an empire. The series begins in 52 BC, as Gaius Julius Caesar has completed his masterful conquest of Gaul a...
As good as Rome is -- and it's an epic, multilayered thing of beauty -- it's still not on the level of "The Sopranos" or "The Wire" or "Deadwood." That's almost an unfair comparison, but it's also true. On the other hand, "Rome" unfolds like a marvelously shot big-screen movie, each scene (filmed on location in Italy) dripping with money well spent and a meticulous grandeur that rewards you for paying extra for HBO.
A wild, careening chariot ride of a new series that debuts tonight. It's like The Sopranos in togas, except without even the faintest twinge of conscience. [28 Aug 2005, p.8]
Truly fantastic series with great actors and a storyline (Cesar, Cleopatra, ...) that has fascinated us since our childhood. The side story of the two legionnaires can be a bit tedious at times but the viewer is rewarded every time the focus shifts back to the main plot. Its a pity they didnt continue the series past season 2!
There are, in fact, simply too many characters chasing each other up and down the seven hills, and viewers who try to keep track are in for maddening frustration. If only people would address one another by name once in a blue moon, that would help a little. [28 Aug 2005, p.N01]
Calling Rome a crushing disappointment would be accurate but too forgiving of its sordidly cockamamy fixations. Brutality and nudity rise in direct proportion to unpersuasive storytelling. Finding someone, anyone, to care about amid all this shock-value Sturm und Drang swiftly becomes an enervating chore. [26 Aug 2005, p.B33]
A beautiful, historically-inspired. The show itself can be split and seen in two. The first part follows the main characters, who pop up all the time during all crucial events of the civil wars in this period. The second part follows the historic events with a reasonable accuracy, both the civil war between Caesar and Pompey, and, later, between Augustus and Mark Antony. The characters are incredibly well balanced --- they are neither good nor bad. At some points you love them, at others you hate them. Not to mention, the costumes and the decors were superb as well.
May take 2 episodes to get hooked, but trust me it only gets better and well worth the wait. One of the very few excellent TV series out there, hands down all time favorite.
Basically a story told mostly around the 2 soldiers around Julius Caesar's time, the drama, sex, action, violence, politics is just a very well played out take on this story. Wish someone can produce quality like this again in the future. Very sad its only 2 seasons but makes sense given the story and Rome's timeline itself.
Don't know what the critics were thinking on this one, although the original score for Breaking Bad was 71, they don't know what they are doing. Personally this is one of the best series I have ever seen, the characters and scenes are incredibly well made and organised Enjoy!
Une série indéniablement intéressante mais dans l'ensemble trop inégale pour faire honneur sans faillir à la grandeur de Rome à l'un des moments-clés de son histoire, celle de la fin de la République et des débuts de l'Empire.
Une période troublée faite de luttes de pouvoir et de guerres civiles qui commence avec Jules César, Pompée, Cicéron, Brutus et bien d'autres dont la mère d'Octave, Atia, maléfique femme "couguar" manipulatrice à souhait. Marc-Antoine est également de la partie, ainsi que la divine Cléopâtre et bien entendu l'intelligent Octave, futur César Octave...
Ces personnages historiques sont une manne pour tout scénariste ou même romancier en mal d'inspiration : ils dépassent la fiction elle-même et leurs actions et leur personnalité ont construit leur légende par delà les âges. C'est un point sur lequel la série excelle que de nous brosser les traits et contradictions de tels personnages via une interprétation remarquable de tous les acteurs et actrices présents.
Ainsi, les complots et manoeuvres politiques sont fort bien restitués sur les deux saisons ; des libertés ont sans doute été prises avec la réalité historique mais c'est une période sur laquelle on s'interroge encore, car ironiquement rien n'est gravé dans le marbre.
A ces personnages flamboyants se sont adjoints deux légionnaires qui servent l'un ou l'autre camp au gré des marées. Or, la série **** beaucoup trop sur eux et leur vie sentimentale exagérée et outrée, peu crédible et prétexte à un déballage de psychodrames qui n'en finissent pas. Là précisément, la série loupe le coche et perd son temps et le nôtre.
La reconstitution historique, les décors et costumes, sont de toute beauté bien qu'un brin étriqués et la réalisation est globalement inégale elle aussi, voire carrément naze avec des combats affreusement confus et brouillons lorsqu'il y en a. En fait, en matière de violence, on reste généralement sur sa faim, car si elle est bien présente, son impact est rarement bien rendu. Une seule bataille est vraiment bien faite et spectaculaire lors de la saison 2... et c'est tout. De la part d'une série HBO, on attendait mieux.
Par contre, niveau fesse, on en a pour son argent, à tel point que Rome peut rivaliser sans forcer avec l'autre série romaine, celle des gladiateurs, Spartacul pour les intimes. Et les filles sont belles, rien à y redire !
La série a ses grand moments avec notamment Octave et Antoine auxquels les acteurs donnent une épaisseur stupéfiante ; elle en a de bien tièdes aussi avec nos deux légionnaires revenus dans la vie civile, des exécutants dont les vicissitudes nous passent par dessus la tête.
On reste vraiment partagé devant une telle série qui souffle le chaud et le froid en permanence et pourtant, le dernier, l'ultime épisode avec Antoine et Cléopâtre est en état de grâce avant de retomber de façon capillotractée avec Vorenus et Pullo. Mais je ne veux pas conclure sur une note négative, car la série reste -dans son domaine- digne d'intérêt.