[Homeland] sounds as though it could have been pitched as "The Manchurian Candidate: The Series." But set that aside, if you can, and look at what's on-screen, because it'll reward your attention.
There are a couple of bush-league moments in the show....[But]those are minor quibbles, made even more insignificant by the extraordinary performances of Danes, Lewis, Patinkin and Baccarin.
A veterana Homeland volta a surpreender com a sua recente temporada e nos acabou lembrando os motivos dos quais amamos tanto essa série. A temporada não teve fillers, e todos os personagens foram bem construídos ao longo da season.
Homeland functions terrifically as both a thriller and a commentary on our post-post-9/11 world, where the War on Terror and the concept of being constantly under surveillance are both facts of life.
[There's] a level of ambiguity executive producers Howard Gordon and Alex Gansa might not have gotten away with when they were writing for Kiefer Sutherland's Jack Bauer on "24," but it's part of what makes Homeland, adapted from an Israeli series created by Gideon Raff, one of the season's most intriguing dramas.
Homeland has a chance to be a much tighter--and smarter--endeavor with more nuance than "24" ever had. But if a cougar suddenly appears, and/or if someone comes back from the dead, all bets are off.
Definitely, one of the best shows on TV. Only complaint is I'm tired of her mental illness always springing up causing problems and being used against her. Take your med.s and let's move on past this as a plot line. She is tough and empowering. I just love her, she is strong, skilled, believable, and vulnerable. I love how astute she is. Can't wait for the new season.
I just finished watching Season 1. Not bad, not great. I'm not a big Damien Lewis fan, and he did nothing in this series to change my opinion. The CIA cast is great. The final episode was a real let down. Kind of epitomized the whole season. A lot of potential, just comes up short.
To put it simply, this show is American television for American viewers. It targets the market for post-9/11 paranoia and a revamped patriotism, but falls flat due to a tired storyline and acting that is not believable. Claire Danes winning the Golden Globe for best actress was an atrocity in my opinion. I find myself cringing (seriously) during some of her key performances in the show. The scene when she has been drinking with Brody, stumbling into the parking lot, made me almost change the channel. I continued to watch the entire season, and plan on giving next season a chance, but there is not much character substance nor is there much to the plot. You can continuously add twists and turns but if you don't invoke a person to think about human experience or trigger emotions other than "Wow, and explosion!" then there is no payout for the viewer.
Malgré quelques longueurs (et c’est une prouesse avec seulement 12 épisodes, on se demande ce qu’ils branlent ces scénaristes…) malgré quelques longueurs dans la première saison disais-je, il s’agit d’une bonne adaptation de la série israélienne originale (qui était elle même ultra-chiante à dire vrai).
La seconde saison est la meilleure par son rythme et la relation ambigüe pour ne pas dire paranoïde entre les deux siphonnés, chacun à leur façon. A cet égard, qu’il soit rendu justice à Claire Danes et Damian Lewis qui ont abattu un boulot fabuleux sur ce point, ils comblent presque les carences encore répétitives de l’écriture mais soit ! si seulement ils s’en étaient tenu là… mais non, encore une saison, encore une…
Une troisième saison donc, celle où Brody est en RTT les deux tiers, celle qui gaspille des épisodes entiers sur sa chieuse Dana, Dana Brody et ses cacas nerveux (on s’en fout !) et celle où finalement les enjeux de la série ne se réveillent qu’au 9ème épisode (sur 12). Il fallait réduire s’ils n’avaient rien à dire, ces scénaristes stagiaires ! et se limiter à 6 ou 8 épisodes.
Cela étant, la fin est surprenante, audacieuse même, dommage qu’elle manque de cohérence avec les personnages dans leurs réactions. On a vu bien mieux avec l’autre série d’espionnage (The Americans) sur cette question. On se demande alors, à la fin de ce dernier épisode, pourquoi Carrie travaille (encore) à la CIA ? mais cela, les scénaristes ne le savent pas eux-mêmes ! Dommage, car Carrie qui semblait si riche et pétrie de contradictions ressemble à une coquille vide et tout se casse la gueule.
Pour la 4ème saison, tout est remis à plat et on pourrait la regarder sans avoir jamais vu les 3 précédentes qu’on y verrait que du feu… à part une seule séquence certes ! Cela étant, cette nouvelle chasse aux terros a ses quelques moments de gloire, notamment les épisodes 7 à 10 qui insuflent une tension exceptionnelle tout en restant à ma grande surprise assez réaliste ou à tout le moins crédible. Hélas, les deux derniers épisodes sombrent et végètent dans un pathos minable ! Quant au début de saison, il s’avère plutôt ramollo.
La 5ème saison est par contre une déception sur toute la ligne, à tel point que je n’ai pas réussi à la finir. Les scénaristes sont au bout du rouleau et tentent en s’inspirant d’une actualité terroriste (qui dépasse la fiction…!) de boulotter un complot qui vise personnellement notre bipolaire préférée ! cette dernière part un peu dans tous les sens et voit la crédibilité de son personnage détruite au fur et à mesure des invraisemblances de l’écriture.
La saison 6 ne s’occupe plus des islamo-terros mais part sur un complot complotiste interne à la CIA/NSA, visant à discréditer la présidente (fraîchement) élue… tandis que Carrie s’est elle-même éloignée de l’agence et s’occupe de l’autre zèbre, là, mal en point depuis « Berlin »…
On ne s’ennuie pas au fil des rebondissements mis on à peine à croire à tout ce fatras paranoïde au sein même du gouvernement américain… même si « Salieri » est évidemment toujours aussi inquiétant et fourbe ! ça reste très moyen dans l’ensemble… Un ultime coup de théâtre conclut la saison et relance néanmoins la machination et un peu la curiosité…
Une curiosité déçue tout au long de cette saison 7 qui recycle et prolonge (encore) un complot à deux dollars qui vise la Présidente ! on s’emmerde à qui-mieux-mieux alors que la cabale se dévoile éventuellement mais à chaque rebondissement bidon, on constate que tout cela est écrit par des débiles et/ou des complotistes comploteux camés aux réseaux sochiasses : c’est affligeant, pitoyable et la pire de toutes les saisons d’Homeland !
La 8ème et dernière saison ne relève pas le niveau même si elle se recentre sur son sujet… en Afghanistan cette fois. Les péripéties y sont nombreuses mais de plus en plus invraisemblables et aberrantes ; l’on y lèche le fion des Talibans avec application, on pactise avec les Russes tandis que le Pakistan tire des ficelles (stupéfiantes) en coulisses…
C’est un festival d’inepties qui conclut lamentablement la série qui s’est décidément trop éparpillée et a fini comme on s’y attendait de plus en plus, en PLS, complètement éclatée au sol. Le personnage de Carrie a pâtit également de cette écriture navrante et de l’incompétence irrécupérable des scénaristes en roue libre qui ne savaient plus quoi faire : un gros gâchis donc pour une série qui avait bien commencé… au commencement ! mais Homeland, c’est devenu de la merde finalement !
Homeland morphed into an atrocious tv show where there's nothing at stake, when something interesting happens and it's immediately solved and now the show revolves in only drama and not into that frenetic pace of the start of the show were you had, drama, action and actually consequences.
The show lost it's way and you shouldn't watch it, I know the last episode made me quit.
Season 1 Fantastic
Season 2 Nice
Season 3 Bad
Season 4 Atrocius