SummaryElizabeth (Keri Russell) and Philip Jennings (Matthew Rhys) are KGB agents posing as married Americans just outside of Washington D.C. during the 1980s.
SummaryElizabeth (Keri Russell) and Philip Jennings (Matthew Rhys) are KGB agents posing as married Americans just outside of Washington D.C. during the 1980s.
Happily, the show has evolved in how it deals with its central concerns. ... Even at its less-well-loved moments, The Americans is still better than practically anything else around.
Subtle, unique and honest. A spy drama that works more as a marriage drama takes a fantastic premise and perfected it. Never falling short of its emotional punches and edge of your seat action. Underrated for the best of reasons.
Sometimes watching greatness expand and realizing that a foundation is in place for the future (excellent writing, superb acting, a clear conceptual vision) is just the kind of assurance you need to cement your allegiance.
There’s a feeling in the first three episodes of final-act hyperbole that left me a bit dizzy. After a slow-paced fifth season, the final year begins with a parade of bloody deaths. ... But The Americans gets more patient when it examines the widening cracks in the Jennings marriage.
Definitely one, if not the best espionage show on television. It's very immersive and you never get the feeling that the main characters are untouchable, so there's always the right amount of tension. Also it's visually very appealing (editing etc.).
Such a unique show. It is subtle enough to make you think about the story, rather than slapping you in the face with it like most Hollywood shows. Great mix of drama and action. Clever enough to be immersive.
One of the best shows ever made. If you like character development over spectacle, this is for you. Will change the way you think about “the enemy”. Perfectly casted, and the closest to the Sopranos that the 21st century has given us. On par with the greatest. Won’t be a waste of time
The definitive cold war, soviet-focused espionage show.
It would get a 10, but there was a point that season 3 felt dry, with a lack of tension, suspense and progress.
Il y a un peu de Breaking Bad dans cette série (et c’est un compliment) : les personnages y sont en effet admirablement développés, on s’y attache assez vite qu’on les apprécie ou non d’ailleurs, car ce sont avant tout des gens comme tout le monde, si, si… L’autre point commun avec Breaking Bad est ce souci de réalisme ou au moins de crédibilité et pourtant tous les clichés bien connus du monde de l’espionnage y passent ! on reste bien évidemment à mille lieues des tics james bondiens, Dieu merci !
Troisièmement, contrairement aux films d’espionnage classiques ou romans de Le Carré, on pige toujours ce qui se passe : la narration est parfaitement maîtrisée à cet égard. Enfin c’est souvent assez drôle, il y a une certaine finesse dans cette série, un regard malicieux, presque complice sur cette fin de guerre froide des années 80. Les acteurs sont particulièrement impliqués, la jolie Keri Russell en tête : elle est très impressionnante de justesse.
Cela étant dit, on peut regretter quelques chutes de rythme et une tendance trop marquée à s’apesantir sur la vie sentimentale de nos chers espions (et contre-espions) même si ça ne concerne que 2 ou 3 épisodes sur les 13. Une excellente première saison en tout cas avec un très beau final qui laisse augurer une seconde saison captivante.
Je viens de visionner la seconde saison qui ne déçoit pas ! ce « vis nos vies d’espions » est toujours aussi intéressant à suivre, les enjeux restent clairs avec un réalisme des plus convaincants. On peut espérer une saison 3 de la même veine d’autant que la fin promet beaucoup.
Hélas, la saison 3 n’est qu’un **** mouillé et se traîne comme une limace, la trame générale déraille dans l’ennui le plus complet. Cette saison ne cesse de se focaliser sur cette andouille d’agent du FBI alors qu’il est en porte-à-faux ; elle se focalise également sur Paige la pisseuse, petite cruche insupportable, cajolée par ses parents espions décidément bien ramollis. Je me suis rarement autant fait chier sur ces 13 épisodes, j’ai cru que ça n’en finirait jamais. En conséquence, je descends la note à 6 en espérant que la quatrième saison saura relever la barre.
En comparaison, la saison 4 relève en effet sensiblement le niveau et comporte ses bons moments d’infiltration et de noyautage. Cependant, la petite bigote Paige est encore le noeud de la problématique de notre cher couple de barbouzes avec encore trop fréquemment cette psychologie à la petite semaine qui caractérise de plus en plus la série.
Ils tentent de continuer d’insufler la profondeur dont bénéficiait Breaking Bad dans ses personnages mais cela est devenu très maladroit et ça sonne faux les trois quarts du temps. Plus que les acteurs, c’est un vrai souci d’écriture qui ne sait plus où aller à part tirer encore un peu plus sur la corde afin d’extorquer une saison supplémentaire à la chaîne.
En conséquence de quoi, je descends la note à 5 en espérant que la cinquième saison (la dernière ?!) saura clore une série qui se délite dangereusement. Et malheureusement, la saison 5 est sans doute la pire de toutes… la trame reste ici très mince et comme on peut s’y attendre, on doit supporter du mauvais, du très mauvais remplissage, étant donné qu’ils doivent (encore) meubler pendant 13 épisodes. La peite Paige est toujours là à nous soûler (pour rester poli) et à la fin de la saison, on se retrouve peu ou prou au même point qu’au début : du putain de surplace !
L’ultime saison replonge dans un complot invraisemblable qui se traîne comme un rat mort ; c’est toujours la même chose et on ne va même pas au bout, car finalement, on s’en fout complètement en fait ! toutes ces saisons en trop, c’est un naufrage pour une série qui s’est perdue en cours de route pour couler à pic dans les abysses des aberrations et de l’ennui. Je descends donc la note à 3.