SummaryA tormented father (Joel Kinnaman) witnesses his young son die when caught in a gang’s crossfire on Christmas Eve. While recovering from a wound that costs him his voice, he makes vengeance his life’s mission and embarks on a punishing training regimen in order to avenge his son’s death.
SummaryA tormented father (Joel Kinnaman) witnesses his young son die when caught in a gang’s crossfire on Christmas Eve. While recovering from a wound that costs him his voice, he makes vengeance his life’s mission and embarks on a punishing training regimen in order to avenge his son’s death.
For the 77-year-old Woo, who has influenced generations of directors with films such as “The Killer,” “Bullet in the Head” and “Face/Off,” this is his first American film since 2003’s “Paycheck,” and it is hardcore evidence Woo regains his signature style and his flair for over-the-top, sometimes poetically brutal action.
Superb action sequences and a unique no dialogue screenplay come together into a gripping if predictable 104 minutes of viloence filled revenge. Perhaps im slightly biased being a huge action movie genre fan (Also love the works of both Kinnaman and Woo) but I loved the movie.
John Woo’s first American film in 20 years is not the filmmaker at his peak — but it has its moments, with energetically filmed action enough to distract from a melodramatic tone and sometimes silly concept.
The Hong Kong action auteur conjures up a few of his trademark over-the-top sequences, but this tale of bloody vengeance is not the most satisfying delivery device for Woo’s unique brand of melodramatic, slow-mo carnage.
A boring, weightless revenge experiment that quickly goes awry, Silent Night features none of the charm or visual panache that made John Woo one of Hong Kong and Hollywood’s foremost action stylists.
While the rest of Silent Night is so abysmal that its prologue might as well be the last hour of “Hard Boiled” by comparison, it’s hard to imagine a more appropriate introduction to a movie whose only upside is the vulgar thrill of watching something that feels utterly anonymous and wildly idiosyncratic at the same time.
Movies like this were built for double features. Nonessential, knuckleheaded old-school grindhouse revenge melodrama. To cinemas: if you want folks to come out for non-tentpoles, play double features- (or do “bank night”, or give out free dishes, or something..)-
Certes, ce n'est pas le 'John Woo' des années terribles qui vous flinguait toute une meute de salopards à travers deux bidons d'essence, tout au ralenti, alors que Chow faisait son show dans un hangar et que...
Non, ce serait injuste de comparer ce qui ne peut être comparé ; comment comparer n'importe quel film d'action avec le parangon des films d'action, le sacro-saint "A Toute Epreuve" (Hard-Boiled) ?!... même Monsieur Woo n'a jamais pu réitérer l'exploit, y compris avec les moyens (faramineux de tout Hollywood...).
Pourtant, la séquence de la fin de ce 'Silent Night', fort bien faite au demeurant, fait penser au fameux Hangar d'A Toute Epreuve qui se situait, faut-il le rappeler, encore vers le début du film... après la mythique séquence d'ouverture, au salon de thé !! et tout cela n'était qu'un... avant-goût bien sûr de la folie à venir !! (là, deux points d'exclamation sont de mise, à chaque fois).
Donc, côté réalisation, ce bon vieux John a retrouvé certainement son talent et son inspiration, aidé il est vrai par des transitions numériques (ça aide vachement à fluidifier un plan-séquence...) et le sang en images de synthèse (hélas, tous les films modernes sont comme ça, désormais). Cela peut manquer encore de ralentis mais l'essentiel y est, à savoir les tours de magie de Monsieur Woo, le maître des ballets d'ultra violence !
La séquence de la poursuite du début est également très bien faite, là aussi, on retrouve la maestria du cadre, du montage, des ralentis et des arrêts sur image ! mais... entre les deux, il ne se passe pas grand-chose ! à part des pleurnicheries usées d'un drame à la petite semaine... J'ai même dû un peu accélérer un ou deux passages parce que franchement, tu commences à nous gaver avec ton nabot !
Du coup, malgré une réalisation de haute volée, le scénar s'avère beaucoup trop faiblard pour soutenir le film correctement... et le bilan est hélas bien moyen ! malgré des fusillades brillantes. Hélas, Maître Woo, ce ne sera pas encore pour cette fois (le grand retour). Je vais donc remater pour la dixième fois (environ) "A Toute Epreuve", bordel de merde !!