SummaryIn post-apocalypse Korea where deliverymen known as Black Knights delver oxygen and other essentials, renowned Knight 5-8 (Kim Woo-bin) trains refugee Sa-wol (Kang Yoo-seok) how to become one in this adaptation of the webtoon series of the same name.
SummaryIn post-apocalypse Korea where deliverymen known as Black Knights delver oxygen and other essentials, renowned Knight 5-8 (Kim Woo-bin) trains refugee Sa-wol (Kang Yoo-seok) how to become one in this adaptation of the webtoon series of the same name.
Black Knight may take a couple of episodes to fully build out its world, but it’s not a slow-paced introduction to this post-apocalyptic version of Seoul, with stunning visuals and well-done fight sequences.
It’s far too cartoonish to become another phenomenon for Netflix. Still, as dystopian escapism goes, the series delivers thrill, spills and chills with dead-eyed efficiency.
When Black Knight manages to speed ahead from its occasionally belabored setups and gives its best elements room to breathe, it works as a more propulsive action thriller.
Black Knight treats couriers as unsung heroes, with 5-8 having to drive through a desert that teems with rogues – electrocuting them with the press of a dashboard switch if they manage to climb on his delivery truck. If he gets pulled over, he has a full repertoire of firearms, baseball bats and martial arts skills to subdue them. It’s all endearingly silly.
Une série post-apo avec une ambiance intrigante et un certain réalisme (a priori) : suite à une catastrophe en effet, l’air est devenu quasiment irrespirable et l’air de qualité est donc devenu payant… et livré à domicile par un délibroute ou un ubermerde ! (et des migrants à vélo qui se sont perdus dans le désert -le gé-pet-hesse marchait plus).
Non, j’exagère, ce sont de gros bahuts blindés qui s’occupent de ça, attaqués de temps en temps par des ‘réfugiés’ très vindicatifs… En tout cas, les effets spéciaux sont joliment faits et… ça s’arrête là en fait, hélas ! La série ne fait que 6 épisodes (environ 45 minutes chacun en moyenne) et pourtant, on se fait chier à mort étonnamment rapidement !
Les rares séquences d’action sont très mal filmées et très mal montées… en plus d’être secouées dans tous les sens : c’est un désastre…! et surtout, la narration reste complètement décousue et superficielle… de façon générale, l’écriture est très pauvre et complètement éclatée au sol, tout comme les différents protagonistes, qui ont l’air -eux aussi- tout perdus… comme les scénaristes qui ont pondu ces conneries.
Entre l’ennui et l’incrédulité -et pourtant la base était là, du moins le substrat sur lequel aurait pu s’appuyer la série- l’on peine à finir le premier épisode, lequel se conclut d’ailleurs n’importe comment, croyant sans doute attiser notre curiosité… que nenni ! on zappe ce machin qui pédale dans la choucroute avariée, ayant bien mieux à faire… ailleurs ou n’importe où. Non mais franchement, sans déconner !